“Rossignol a la langue pourrie” de Jehan Rictus, par Agathe Quelquejay.
Les poèmes de ce Montmartrois des années 1900 disent dans la langue savoureuse, imagée et rude des loqueteux, des sans dents de l’époque, leur misère profonde, leur dénuement, leur humanité aussi, leurs luttes et leurs espoirs. Un moment exceptionnel de poésie authentique.